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Niger : Dernières Nouvelles Du 07 au 08 octobre 2019

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  • Le Bénin et le Niger pourraient très prochainement réactiver le projet de la ligne de chemin de fer Cotonou – Parakou – Dosso – Niamey. C’est ce qu’a laissé entendre le président Patrice Talon, qui effectuait une escale dans la capitale nigérienne, le 4 octobre 2019, où il a été reçu par son homologue, Mahamadou Issoufou.
    En 2008, le Bénin et le Niger avaient lancé un appel d’offres en commun pour construire et gérer un réseau ferroviaire de 740 km reliant Cotonou à Niamey. Le projet a été remporté par Petrolin, la société de l’homme d’affaires Samuel Dossou, puis confié en 2013 au groupe Bolloré, via la société Bénirail, un partenariat privé-public

  • Le Ministre des Finances Mamadou Diop a présenté solennellement, ce mardi 08 octobre 2019, la loi de finances pour l’année budgétaire 2020 de l’Etat du Niger devant les députés réunis en séance plénière sous la présidence de l’honorable Ousseini Tinni.
    Dans un exposé, le Ministre Mamadou Diop a fait savoir que le budget 2020 est élaboré dans ‘’un contexte marqué par des défis liés à la sécurité régionale, à la volatilité des cours mondiaux des matières premières et aux aléas climatiques’’.
    Arrêté en recettes et en dépenses à 2.266,15 milliards de francs CFA, le budget 2020 du Niger a connu une hausse de 108,84 milliards de CFA par apport à celui de 2019 qui était de 217,31 milliards, soit 5,05% en valeur relative.
    C’est ainsi que les recettes qui la composent sont chiffrées à quelque 1231,54 milliards de CFA pour une hausse de 8,72% par rapport à 2019 et représentent 54,35% des prévisions budgétaires totales.

  • Un document de politique nationale des frontières, présenté en conseil des ministres le 4 octobre 2019 a été adopté par le gouvernement nigérien. Son plan d’action préconise dans ses grandes lignes d’œuvrer à la maîtrise des frontières nationales par leur délimitation et démarcation effective
    Dans le détail, il est aussi question à travers les recommandations de ce document de promouvoir la paix, la sécurité, le développement durable et la coopération transfrontalière en vue de la création des conditions de vie nécessaires à l’épanouissement des populations vivant dans ces zones frontalières. Toutes ces mesures visent « à renforcer la présence de l’Etat dans les zones frontalières à travers la sécurité, la gestion de la migration, l’amélioration de l’offre de services publics aux populations, la promotion du développement économique et l’intégration sous-régionale et régionale », explique le gouvernement.

  • Lors d’une cérémonie qui s’est tenue hier à Niamey en présence de divers acteurs, principalement de jeunes candidats à la migration, d’acteurs de la société civile et de nombreux invités, le coordinateur du projet Migrants a déclaré que
    « Le projet relatif aux immigrés ne décourage pas les jeunes, mais leur fournit des informations fiables leur permettant de mieux respecter la régularité, de migrer dans la dignité, sans souffrance et sans peur. »

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