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Mali : Dernières Nouvelles du 06 au 12 Novembre 2019

Africa Prospectus __ Hend Ezz

  • Le président de la République, Ibrahim Boubacar Keita, s’est rendu le samedi 11 novembre 2019 à Paris, où il a participé aux travaux de la deuxième édition du Forum de la paix à Paris, présidé lundi par le président de la République française, Emmanuel Macron.
    Les chefs d’État et de gouvernement du monde entier, des représentants d’organisations internationales, d’entreprises et de la société civile ont également participé à la réunion.
    Le Président du Mali a participé au Groupe de haut niveau sur «L’opinion des jeunes sur le multilatéralisme» au siège de l’UNESCO à Paris.

  • Le gouvernement malien a annoncé que l’armée avait lancé le mardi 12 novembre 2019 une offensive à grande échelle dans le centre du pays contre ce qu’il appelait des « terroristes », tuant beaucoup d’entre eux.
    Le gouvernement a indiqué dans un communiqué que l’armée de l’air fournissait une couverture aérienne à l’attaque, qui a débuté lundi en réponse à deux attaques par des hommes armés qui ont tué une centaine de soldats en moins d’un mois.
    Au cours du week-end, l’armée malienne a annoncé qu’elle reconsidérerait ses opérations militaires et se retirerait dans des zones reculées près de la frontière avec le Niger et le Burkina Faso pour se rassembler dans des lieux plus puissants.

  • Des centaines de personnes sont descendues dans les rues de la capitale malienne, Bamako, en solidarité avec l’armée du pays, victime d’attaques meurtrières ces derniers jours, tuant des dizaines de soldats.
    Les manifestants ont brandi des banderoles, scandé des slogans de solidarité avec l’armée, appelé les troupes françaises à quitter le pays et réclamé l’intervention de troupes russes au lieu du Mali.
    Pour rappel, une cinquantaine de soldats financiers ont été tués la semaine dernière lors d’une attaque contre la caserne d’Andileman, près de la frontière avec le Niger, dans le nord-est du pays. Ils ont ensuite été revendiqués par l’État islamique.

  • Dans une déclaration, ils ont affirmé que les syndicats de l’Union autonome (Sam) et de l’Union libre du pouvoir judiciaire (Selima),
    Ils ne participeront à aucune activité organisée par la Cour suprême tant que celle-ci continuera d’être dirigée par Nohom Tabili.
    Ils ont affirmé que l’indignation n’était pas liée à des accusations que le dirigeant malien Mamadou Sissi Coulibaly n’avait jamais nié, mais à ce que la libération décrit comme « un traitement qui leur apporte peu » par Tabili pendant la grève.

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