L’Institut du Caire pour les études sur les droits de l’homme considère que le choix de l’Égypte comme pays hôte de la 27e Conférence des Nations Unies sur le climat en novembre prochain, malgré l’ampleur et la gravité de la crise actuelle des droits de l’homme dans ce pays, nuit à la la crédibilité de la conférence et les perspectives de résolution de la situation des droits de l’homme. Dans un document de recherche publié aujourd’hui, mercredi, le Centre a mis en garde les pays participant à la conférence contre le fait d’ignorer les violations des droits de l’homme commises et leur gravité. Ce qui peut effectivement contribuer et soutenir tacitement la normalisation de la crise des droits de l’homme en Égypte.